Interview de Thanos
par Le morse des mers
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Interview réalisée le 09/06/2010
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Dernières annotations le 16/07/2010
Figurant parmi la poignée de pionniers du mouvement dès le lancement de Panda Pixela, Thanos est cependant un artiste discret dans le paysage du Pixel Art Obscur, mais non moins actif, en témoigne la force de chacune de ces publications.
Il livre ses secrets les plus intimes en exclusivité pour ZC Virtual Underground Art Gallery…
Comment as-tu connu le Pixel Art Obscur ?
C’est très simple : j’ai des accointances avec le créateur de ce mouvement.
Quel est l’élément déclencheur grâce auquel tu as décidé d’entrer dans le cercle restreint des artistes Pixel Art Obscur ?
J’ai juste kiffé, et du coup, je me suis « pourquoi pas moi ? « . Après tout, il ne tient qu’à nous de prendre notre destin en main et de se lancer.
La base Thanos du Panda te rend directement hommage. Comment as-tu réagi en découvrant cette base sur Panda Pixela ?
J’ai été plutôt flatté, d’autant que cette base est un peu une fusion entre ma tête et un cactuar (célèbre monstre de la série de jeu Final Fantasy), donc c’est doublement un honneur.
Le Panda t’a-t-il consulté pour l’élaboration de cette base ?
Non, pas du tout. En même temps, ça ne m’étonne pas de lui, je crois qu’il a un peu pris la grosse tête avec toute cette histoire de PAO…
Que penses-tu des oeuvres dérivées de cette base comme Immortels Anonymes Dont Un Avec Un Verre De Xeres Et Un Autre Avec Un Rateau A Herbe de Shangri-l ?
Je dois dire que l’artiste qui a réalisé cette oeuvre à beaucoup de talent. Je n’ai pas contre pas trouvé où était le râteau à herbe1 !
Le morse des mers à utilisé cette base pour Balayette-man in Balayette World. Il affirme (voir son interview du 26/12/2008) qu’il illustrait en image la passion de celui qui a servit de modèle pour la base, autrement dit toi. Confirmes-tu ces propos ?
Oui, tout à fait. Pour moi, la balayette est un objet sacré, sensuel et tellement gouleyant, pouvant se décliner sous différentes formes. Et en plus, on peut se les mettre dans l’cul (avec le manche, et l’étiquette) !
Es-tu vraiment un fétichiste de la balayette ?
Si vous saviez …
Es-tu un collectionneur acharné de cet objet ?
Non, car je sais que si je m’adonne pleinement à cette passion, je risque trop de m’y perdre.
Combien possèdes-tu de balayettes ?
Deux. Une balayette « à chiotte » et une balayette pour ramasser les saletés (vous savez, ces balayettes qu’on utilise pour pousser la poussière et les miettes dans une petite pelle, une fois qu’on a passé le balai).
Quelles sont les différentes utilisations que tu en fais ?
Je préfère que ça reste de l’ordre du privé, sauf si vous pouvez m’assurez une protection contre les mineurs à cet interview !
Avant de fermer la parenthèse « balayette », quelle marque et quelle modèle de balayette conseillerais-tu aux visiteurs de ZC Underground Art Gallery ?
Une balayette BaC 72689, avec manche en ivoire et étiquette en papier glacé.
D’autres base du Panda rendent hommage a des personnes de ton entourage. Que penses-tu par exemple des bases Sebastien et Terra ?
Je trouve ça touchant de voir que Le Panda s’est servi de ses amis pour faire certaines de base. Ca montre bien là toute la générosité et la gentillesse de cet homme. Ou alors, ça veut tout simplement dire qu’il n’a aucune imagination et qu’il s’est honteusement servi de nous pour accéder à la gloire et à la richesse.
Rendent-elles justice à leur modèle respectif ?
Oui et non. On reconnaît bien les modèle respectif mais si je devais émettre une critique, je dirai que la base Sébastien a une disproportion négative au niveau du tour de tête. Quant à la base Terra, tout le monde sait que ses chats sont beaucoup plus «sacoche» que celui représenté sur la base.
Tu étais là dès la naissance du mouvement Pixel Art Obscur, pourtant tu as peu publié sur le site Panda Pixela, unique vitrine du PAO à l’époque (seule trois de tes oeuvres y sont recensées). Est-ce par souci de privilégier la qualité à la quantité ou par manque de temps ?
J’ai effectivement cherché la qualité. Il faut aussi ajouter que mes dernières oeuvres n’ont pas été publiées. Et puis, je dois aussi ajouter qu’à cette époque, je travaillai à la SNCF, ce qui ne me laissait pas beaucoup de temps pour les à-côtés, comme chacun peut l’imaginer !
Peux-tu nous en dire plus sur la genèse de ta première oeuvre, L’homme de De Vinci vu par Narcisse ?
Disons que ça m’a tout simplement sauté aux yeux. Quand j’ai vu la base, j’ai tout de suite pensé que si on devait envoyer une nouvelle sonde dans l’espace, c’était la base Narcisse qui devrait servir de modèle d’humain à envoyer pour d’hypothétique extraterrestre.
Pourquoi avoir choisi la base Narcisse ?
Une révélation je pense, comme expliqué plus haut. Et je voudrai, si des extraterrestres venaient à tomber sur nos sondes, qu’ils voient les changements de nos sociétés, devenu consumériste à souhait, causant l’obésité des humains. Et Narcisse est parfait pour ça.
Leonard De Vinci est-il un artiste que tu admires ?
Pas tant que ça. S’il avait été si admirable, il aurait inventé le PAO !
Est-ce ton unique source d’influence sur cette oeuvre ou as-tu des actions chez Manpower ?
Pour être franc, je rêve secrètement que les extraterrestres se mettent à l’intérim !
Le radeau de la méduse perdue est une adaptation surprenante de l’oeuvre de Gericault. As-tu utilisé une technique particulière pour reproduire les éléments du tableau original ?
Il a d’abord fallu que je repère parmi toutes les personnes présentent sur le radeau lesquelles étaient vraiment importante pour la cohésion de l’oeuvre. C’est tout un travail de recherche qui m’a pris des jours et des jours. Ensuite, un logiciel de dessins, une souris et hue cocotte !
Pourquoi avoir donné la parole aux personnages du radeau via des bulles ?
Ces personnages avaient tellement de chose à dire, tellement à exprimer et à nous apprendre. C’est pour ça que j’ai du limiter le nombre de personnages, pour ne pas être submergé de bulles et ainsi noyer les spectateurs et l’éloigner de l’intention première de l’oeuvre.
On sent, à travers ces bulles, l’influence de la bande-dessinée. Es-tu un passionné du neuvième art ?
Oui, tout à fait. Et plus particulièrement de Comics (bande-dessinée américaine). Contrairement aux balayettes, je ne me fous pas mes BDs dans le cul !
Tout comme Le radeau de la méduse perdue, Sausages in the commodes a été créée pour les besoins d’un concours sur Panda Pixela. Ces oeuvres de commande ont-elles été une contrainte pour ton inspiration ?
Non, bien au contraire. Il est toujours intéressant de voir les différentes déclinaisons d’un même thème. Et pouvoir se confronter aux autres est toujours sources de motivation.
Comment t’est venu l’idée de cette mise en scène pour Sausages in the commodes ?
L’idée m’est venue lorsque j’avais perdu un paquet de Knacki, que j’ai retrouvé dans mon tiroir à couvert. Je me suis alors dis «j’aurai tout aussi bien pu le mettre dans ma commode !». Et voilà, le projet était lancé.
On sent une véritable maturité dans ton style sur cette oeuvre, aucun détail n’est laissé au hasard (ombre des personnages, reflet dans le miroir, …). Qualifies-tu cette oeuvre de charnière dans ta carrière de pixel artist obscur ?
Je me suis beaucoup appliqué sur cette oeuvre effectivement, pour montrer qu’on pouvait porter grand soin au détail, même quand on fait de le PAO. C’est un peu un pied-de-nez à tous ceux qui pensent que le PAO n’est que brouillon et approximation.
La base Ghost and sausages était imposée mais tu as décidé de représenté le second personnage de la scène par la base Giacometti plutôt qu’une création originale. Pourquoi ce choix ?
J’aime les cross-over, d’où ma passion pour les Comics je pense. Et je sentais beaucoup de potentiel dans cette base Giacometti, sans vraiment savoir quoi exactement. Ce n’est que plus tard que j’ai réalisé ce qui m’attirait tant dans cette base.
Parmi les détails de la scène, on remarque la présence de ton oeuvre Le radeau de la méduse perdue. Est-ce une forme de Pixel Art Obscur sampling inversé (voir l’interview de Shangri-l du 17/12/2008) ?
Ce que j’essaye surtout de faire, c’est de créer un univers autour de mes oeuvres, quelque chose de cohérent. Chacune de mes oeuvres s’inspire des autres et fait partie d’un tout. J’ai surtout essayé de dire par là que si la saucisse avait fait de l’intérim, elle n’en serait pas là !
Comment t’es-tu pris pour représenter cette version réduite ainsi que l’effet granuleux rappelant la texture d’une toile de maître ?
C’est une technique plutôt complexe que je me garderai bien d’expliquer ici pour ne pas ennuyer le lecteur. Et puis, il faut bien garder une part de mystère *rire*.
Par ailleurs, on constate l’absence de deux bulles de dialogues par rapport à l’original, doit-on y voir une signification particulière ?
Je voulais garder seulement l’essence de cette toile, et ainsi, je l’espère, provoquer un débat national autour du port de la méduse en eau galeteuse.
Le dialogue est également présent dans Sausages in the commodes. Est-ce par volonté d’instaurer un aspect comic book à ton style graphique ?
Tout à fait. C’est encore une fois dans une volonté de créer un univers cohérent, comme Marvel à su le faire ces Comics.
La référence au comics est totalement confirmée par ta galerie « Les Quatre Fantastiques ». Pourquoi avoir choisi d’illustrer cette série ?
Tout a commencé quand j’ai réalisé que ce qui me turlupinait tant avec la base Giacometti : c’était pour moi l’incarnation parfaite de Mr Fantastic. Les trois autres ont tout simplement découlé de cet état de fait.
Y a-t-il eu une reflexion particulière quant au choix des bases que tu allais utiliser pour représenter les quatres personnages de la série ?
Il fallait trouver des bases qui ressemblaient le plus aux personnages de Marvel. Le choix pour Giacometti/Mr Fantastic a été évident, tout comme celui de Terra/Femme Invisible, puisqu’il n’y a qu’une seule femme dans les bases de Panda Pixela. Pour les deux autres, il a fallu plusieurs semaines de recherche et de tests avant de trouver les meilleures bases pour représenter ce que j’avais en tête.
Pourquoi avoir choisi le même décor pour ces quatre portraits ?
Au départ, je voulais faire les quatre personnages dans le même tableau, avec ce décor là, genre family portrait. Puis, je me suis dis que ce serait plus rendre hommage aux personnages de les représenter chacun dans une oeuvre distincte. J’ai gardé le décor pour me souvenir de mon idée de départ, car il ne faut jamais oublier ses racines.
Concernant La femme invisible, pourquoi ne pas avoir repris le chat habituellement indisociable de la base Terra ?
Il est bien connu que La Femme Invisible n’a pas de chat. Après, toute la question était de savoir si j’associais honteusement un chat à La Femme Invisible ou si je dissociais frauduleusement Terra de son chat … vous connaissez mon choix.
Est-ce une volonté de remise en cause du principe d’utilisation des bases instaurés par Le Panda ?
Il faut savoir briser les règles pour subjuguer l’art. Et c’est ce que j’ai fais ici, ou tout du moins, c’est ce que j’ai essayé de faire.
La Torche est une véritable réussite graphique. Comment as-tu procédé pour rendre les flammes autour du personnage si vivantes ?
C’est simple : j’ai kidnappé une personne dans la rue et je lui ai mis le feu. Le plus gros challenge était de reproduire ça par-dessus la base Thanos avant la fin du feu.
Le personnage dans La Chose est réellement impressionnant, la présence de la base Sébastien n’y est sans doute pas étrangère mais elle est transcendé par les éléments que tu y a ajoutés. As-tu eu une attention particulière sur l’aspect de ce personnage ?
Oui, il fallait rendre le coté rocailleux de La Chose. Je pense d’ailleurs avoir eu plus de boulot que les dessinateurs de Comics étant donné la taille de l’appendice tétale de la base Sébastien.
Si vous observez bien cette oeuvre, vous remarquerez d’ailleurs un élément insolite qui s’y cache !2
On retrouve cet aspect soigné dans la coupe de cheveux de Mr Fantastic. Pourquoi cette coiffure ?
C’est tout simplement la coiffure d’origine de Mr Fantastic. Il est bien connu que ce qui est le plus dur à retranscrire, ce sont les cheveux et les mains. Les mains sont déjà faite dans les bases. Quant aux cheveux, ceux de Terra sont déjà inclus dans la base, et La Chose et La Torche n’en ont pas. Si je voulais faire ressortir tout mon talent capilaire, ça devait être sur Mr Fantastic. C’est pour ça que j’ai tout donné pour ça. J’étais tellement épuisé que j’ai passé deux jours consécutifs au lit pour m’en remettre.
Après cette série, as-tu envisagé d’adapter d’autres comics à la sauce Pixel Art Obscur ?
Non, je me suis dis qu’il fallait passer à autre chose, pour ne pas m’enfermer dans un seul type d’oeuvre.
Cette série était destinée à être publiée sur Panda Pixela. L’arrêt brutal des mises à jour sur le site ont-elles eu raison de ta carrière de pixel artist obscur ?
Oui, je pense qu’on peut le dire ! Sans ça, j’aurai sans doute continué sur cette voix, mais rien n’est moins sur.
Tu as aussi a ton actif une série de monochrome représentant l’habillage de trois sites que tu administres : Games Memories, Final Fantasy Memories et Zelda Memories. Peux-tu nous décrire le contenu de ces sites ?
Les sites FF Memories et Zelda Memories sont des sites qui proposent des soluces complètes sur ces jeux (les anciens pour la plupart). Games Memories est un portail regroupant des news sur ces deux sites et permettre de naviguer facilement de l’un à l’autre. On y retrouve deux de mes amis et compères des Jumping Stools et du Pixel Art Obscur : Le morse des mers et Le Panda.
Comment as-tu élaboré les nuances de ces trois monochromes ? Recherchais-tu un résultat particulier ? Si oui, l’as-tu obtenu au final ?
J’ai tout simplement pris les couleurs de fond des trois sites. Le but recherché était juste de faire parler des sites, de faire cliquer les gens et de faire p’ter toutes les stats ! Le résultat n’a pas été obtenu, mais je crois que c’est surtout parce que ça fait très longtemps qu’il n’y a pas eu de mise à jour sur ces sites !
Ces monochromes ainsi que la série « Les Quatres Fantastiques » ont finalement été publiées deux ans plus tard sur ZC Virtual Underground Art Gallery (anciennement Zircanews). Comment as-tu été approché par l’équipe du site ?
J’ai été contacté par Shangri-l qui m’a fait part de son envie de créer un espace dédié au PAO sur Zircanews et m’a gentiment demandé si j’acceptais que mes oeuvres soient diffusé par ce média, ce que j’ai tout de suite accepté.
Qu’est-ce qui t’as convaincu publier tes oeuvres sur ZC Virtual Underground Art Gallery ?
L’envie de faire perdurer cet art trop méconnu des gens.
Que penses-tu des autres artistes Pixel Art Obscur publiant dans ZC Virtual Underground Art Gallery ?
Je suis assez fan de leur travail, d’autant que chaque artiste a son propre style, unique, et qui ne ressemble à aucun autre.
Quelles sont tes oeuvres préférées parmi celles publiées par ces artistes ?
J’aime beaucoup Qui a tué Charlie dans la bibliothèque avec le chandelier ? de Flure, Dawn of the sausages, Allégorie du tractopelle et Jésus était un beauf du morse des mers et John Lennon, Eté, Tassin de Nicolas Chartoire.
Que penses-tu du site en général et des autres formes d’arts qu’il met en avant ?
C’est bien de voir enfin un espace sur le Net pour parler des formes d’art un peu underground.
Penses-tu te remettre à la création d’oeuvres Pixel Art Obscur dans un avenir proche ?
Rien de prévu pour le moment, mais vous savez ce que c’est : l’inspiration peut tomber sur n’importe qui, n’importe quand.
Envisages-tu de te lancer dans une autre forme d’expression soutenue par ZC Virtual Underground Art Gallery (moelloning, peinture, …) ?
Si seulement j’avais un moellon…
Parle-nous un peu des Jumping Stools dont tu es l’un des membres historique avec d’autres pixel artists obscurs. Que représente ce groupe pour toi, assez atypique dans le paysage musical français reconnaissons-le ?
Les Jumping Stools sont des artistes buccaux. On pourrait dire a-cappella, mais il y a aussi des instruments (même s’ils sont fait à la bouche). Pour moi, c’est avant tout un groupe de potes. Et chacune de ces chansons racontent une aventure ayant été vécu par certains membres de ce groupe. Certaines chansons, même si elles sont rares, sont aussi engagées. Et il faut croire que nous avons été entendus puisque George Bush n’a pas été réélu, suite à nos chansons sur lui.
Le côté parodique des Jumping Stools se retrouve-t-il dans tes créations PAO ?
Dans un certains sens oui, avec notamment Le radeau de la méduse perdue ou « Les Quatres Fantastiques ».
Quel style de musique écoutes-tu ?
J’écoute surtout du rock, des trucs qui bougent quoi, et particulièrement les artistes engagés, comme les Cowboys Fringants ou Renaud.
On dit que tu es un grand amateur de jeux vidéo. Quelles sont tes jeux et styles de jeux favoris ?
Oulà, il y en a tellement ! Mais je citerais en vrac les Final Fantasy, Zelda, Mario (globalement, la plupart de ce qui sort de chez Nintendo), MGS, et tant d’autres !
Le jeu vidéo influence-t-il tes créations (Pixel Art Obscur ou autres) ?
Non, comme on l’a vu, ce sont plus les Comics. Mais qui sait, mon retour au PAO se ferra peut-être via les jeux vidéo !
Quels sont tes goûts en matière de cinéma et de littérature ?
Je suis assez bon public en ce qui concerne le ciné. J’aime bien entendu les adaptations de Comics, et sinon, les films d’héroic fantasy ou d’action/aventure.
En littérature, je ne suis pas un grand lecteur, mais je suis très, très fan de Terry Pratchett (Annales du Disque Monde), de Stephen King et de Daniel Pennac.
Hormis les balayettes, as-tu d’autres hobbies/activités ?
Je fais du taekwondo (il faudrait que j’invente un art martial à base de balayettes un jour !) et du GN (jeu de rôle Grandeur Nature) … beaucoup de GN, j’adore ça.
Propos recueillis par Le morse des mers
Annotations :
- Le rateau à herbe se trouve dans la main gauche du personnage sur la nacelle bleue (en haut à droite du dessin).
- Non mais cherchez donc ! On ne va pas vous mâcher le travail avec une simple annotation !
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